L’éclairage intérieur

    En toute circonstance, il est nécessaire de posséder un éclairage de qualité et en quantité suffisante afin de préserver sa vue.
    Il existe trois types de lampes, mais avant de choisir quel type l’on va utiliser, il est nécessaire de  répartir les différents points d’éclairage de la pièce et de déterminer les différents appareils qui vont être utilisés.

    L’incandescence

    De loin les plus répandues, les lampes à incandescence sont les moins onéreuses à l’achat, mais aussi les plus gourmandes en consommation. Elles contiennent un mélange gazeux d’azote et d’argon et montent à des températures élevées.
    Elles existent sous des formes différentes : lampes torsadées montées sur des lustres ou des lampadaires de style, calotte argentée pour l’éclairage indirect, sphériques, etc…
    Leur durée de vie est relativement courte.

    La fluorescence

    Plus connue sous le nom de tube néon, la lampe fluorescente a beaucoup progressé.
    Fini le temps où le starter mettait un temps infini pour allumer le tube. Aujourd’hui, le ballast est électronique, le starter a disparu, et l’allumage est instantané.
    De nouvelles lampes fluocompactes ont également fait leur apparition. A éclairage équivalent, elles autorisent des puissances nettement inférieures aux lampes à incandescence. De formes parfois peu conventionnelles, elles ont pour elles de consommer peu, d’avoir une durée de vie exceptionnelle, et de travailler à basse température, évitant ainsi les risques de brûlure.
    Seul leur prix reste un peu plus élevé.

    L’halogène

    C’est sans conteste le système le plus agréable, et il est particulièrement adapté à l’éclairage indirect.

    • De puissance modeste, (35 à 50 W), les petites lampes sont utilisées dans des spots, encastrés dans le plafond. Il est nécessaire de disposer un spot environ tous les mètres, pour bénéficier d’un éclairage agréable et suffisant. Les lampes peuvent également être orientées afin d’éclairer des tableaux, sur un mur, par exemple. On les retrouve également en crédence dans la cuisine, sur des lampes de bureau, ou, suspendues à des câbles tendues.
      Fonctionnant en basse tension, ces lampes nécessitent l’adjonction d’un transformateur, que l’on dissimule en général dans le plafond. Ces transformateurs étant plus difficiles à changer qu’une simple ampoule, il est conseillé d’en prévoir un par lampe, ce qui évite la panne totale, dans la pièce, en cas de défaillance d’un des transfos.
    • Les lampes horizontales sont très puissantes, ( 250 à 500 watts) et diffusent un éclairage très agréable. Elles sont le plus souvent utilisées sur un lampadaire en éclairage indirect. Associées à un variateur, elles permettent d’adapter la puissance aux besoins.
      Fonctionnant à très haute température, elles sont moins économiques que les lampes fluorescentes, mais la qualité de l’éclairage compense largement.
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    joana

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